Cet été, j’ai appris à nager le crawl et je nage toujours très mal, mais j’aime bien cette sensation de liberté. Cette liberté, c’est comme si un oiseau restait en cage pendant deux ans et tout d’un coup, il peut voler à nouveau. Quand je suis sortie de la piscine, j’ai vu souvent des sportifs ramer, la lumière éblouissante se reflétant sur l’eau, au loin, sur le pont, un artiste manifeste: l’amour il faut déclarer.

Le vent souffle, ça fait du bien.